Premier jour du tour

Réveil 6h45 (maintenant ça ne pique même plus car on se lève et on se couche à l’hee des poules). Nous avons pris un petit déj continental en buffet avec des pancakes (miam).

La Jeep pour notre périple de 4 jours dans le Sud Lipez et le Salar d’Uyuni nous attend dehors. Le chauffeur, Jorge, a monté nos bagages sur le toit dans une bâche (à côté de deux bidons d’essence et une bombone de gaz). On monte dans la Jeep tout confort : sièges en cuir, boîte automatique, radio MP3 (et là on rigole car dans un guide il y avait noté de ramener des cassettes pour changer la musique…).

Musique à fond on s’élance dans les montagnes et le ton est donné : des paysages sublimes mais qu’est ce que ça bouge dans la voiture !

C’est toujours de grandes montagnes mais avec plus grand chose autour, c’est sec mais il reste encore un peu de végétation. La route, enfin la piste, est maxi cabossée, on a pas de ceinture mais Jorge s’y connaît et ça ne fait pas trop peur (même s’il y a un ravin de 100m sur le côté).jour 1

Alors on monte, on monte et sur le chemin on croise des lamas, des émeus…

A midi, stop dans un petit village pour déjeuner. Nous étons 8 de Tupiza Tour à table. Au menu des crudités épluchées et un super bon truc de riz que nous avons dévoré en 5 min top chrono ! La table d’à côté ayant deux malades le plat de la cuisinière n’a pas été réellement honoré.

39 minutes plus tard il est temps de repartir. Nous arrivons au Pueblo Fantasma (à 4690 m d’altitude accessoirement). Après avoir réglé notre droit de passage nous sommes accueillis par un bolivien qui nous explique l’histoire du village.

C’est un ancien village de mineurs Incas colonisé par les Espagnols. Dominé par une montagne un prêtre est monté tout en haut afin de chasser le diable qui rôdait. Néanmoins en le chasssant il a aussi chassé tout l’or de la montagne pour une durée de 1000 ans selon la légende locale. Ainsi il est prévu que lorqu’il redescendrait l’or reviendrait à nouveau dans la montagne.

NB : nous vous racontons cette histoire comme nous l’avons comprise c’est à dire pas vraiment…

Passé cet intermède historique Cyril, Damien et Chloé se sont engouffrés dans une ancienne mine coloniale. Noire et pentue ce fut une expérience intéressante (d’autant plus pour les vêtements qui n’en sortiront pas indemnes).

Et c’est reparti dans la Jeep ! Jorge nous offre un super 4h : des gâteaux apéro au quinoa (là je vous évite le passage sur comment on pourrait faire fortune en proposant l’apéro des Incas en France…).

Ensuite nous sommes arrivés dans le Parc National Eduardo Alvarez. Pareil pour entrer il faut régler son droit de passage à des gardes peu commodes. Nous avons fait une escale à la Laguna Blanca, première lagune de notre périple !

Puis après environ 10h de Jeep nous sommes enfin arrivés à notre auberge. Il fait froid, il y a environ 150km/h de vent et nous sommes juste exténués (malgré quelques siestes mouvementées dans le 4×4).

L’auberge est simple : on mange dans un couloir, les lits sont en ciment, il y a deux toilettes et une douche froide (ou plutôt glacée car à cette altitude on peut plus dire froid). A peine arrivés notre super cuisinière du tonnerre nous sert un mate de coca (comprendre une tisane de feuilles de coca) tout chaud avec des biscuits (le pied !).

Nous faisons une pause jeu de cartes (au président Cyril, mauvais perdant, n’a pas accepté d’être le trou du cul). Puis quelques minutes plus tard le dîner était servi.

Un petit coup de lingette sous les aisselles et un gros fou rire devant la maniaquerie de Cyril pour ranger les cartes, nous nous endormons paisiblement après cette longue journée.

Tupiza à poney

Journée du mardi 27 octobre

Après 15h de bus nous voilà frais et disponibles à Tupiza. Première étape l’auberge. Nous avions négocié une chambre dans l’hôtel 4 étoiles appartenant à la compagnie qui fait des tours dans le Salar. Nous avons donc rejoint l’hôtel Mitru à 10 min du terminal à pied.
Réception propre et luxueuse, piscine extérieure sont au rendez-vous ! A première vue ça change carrément de nos habitudes.

Mais c’était sans compter le fait que l’eau chaude n’est pas disponible l’après-midi, que la piscine est elle aussi très froide et que le Wifi marche que quand il veut, c’est à dire jamais ! (D’où le retard dans nos posts sur le blog…)
Bref après une douche pour les uns, un plouf dans la piscine pour les autres nous partons nous restaurer! Sur les conseils du Lonely Planet (NB pour plus tard : ce guide fait par des américains aux palais peu raffinés n’est pas du tout juste en ce qui concerne ce que l’on peut qualifier de “bon” dans la cuisine bolivienne) nous nous rendons dans un restaurant fréquenté par les locaux juste à côté du marché central.

Au menu comme d’habitude : on commence par une salade (dans laquelle on vire les 3/4 histoire d’éviter la turista), ensuite une soupe et pour le plat principal nous avons osé la “carne de res”.

Et oui le terme osé est totalement approprié car il s’agit de foie ! Heureusement que nous avions mangé un apéro dans la rue juste avant ! Nous avons acheté à un monsieur qui vendait des trucs à base de banane, riz, poulet, patate le tout fris dans une huile bien diététique ! Bref repus mais pas très convaincus de la cuisine bolivienne nous avons fait une sieste avant le cheval.
30 min plus tard le réveil sonne tout le monde prie pour que ce soit juste un rêve mais il faut se bouger ! Alors nous partons avec la jeune fille en direction du ranch. A peine arrivés le responsable commence à seller les chevaux avec des selles très bizarres (genre un tapis normal + un tapis cuir + une énorme moumoute sous la selle et enfin une selle digne d’un fauteuil !) et les filets sont en fait des licols arrangés.

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Chloé a eu Negra (une jument noire comme son nom l’indique), Cyril a eu Bitero (le cheval presque bitterois qui avait pas très envie de bouger puisqu’il faisait chaud), Damien a eu Jepeto (prononcé Yepeto, le cheval d’1m30 pour le plus grand d’entre nous) et Mérédice a eu Linda (comprenez jolie en espagnol et elle portait très bien son nom).
Nous voilà partis avec nos chapeaux de cow-boys en guise de bombe vers le immensités proches de Tupiza.

Ps: nos monsieurs avaient vraiment l’air de sortir du film Brockeback Moutain (celui avec les deux gays en haut de la montagne), preuve de l’appui.

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C’est un paysage  réellement digne d’un far-west. La terre est sèche, les montagnes sont rouges, il y a quelques cactus et autres arbres piquants. C’est très dépaysant. Ce fut une belle balade malgré notre guide peu bavard et le cheval de Cyril légèrement feignant sur les bords…
En rentrant nous étions remplis de poussière nous avons donc chercher notre petite machine à laver (ici ce sont des lavenderia qui prennent le linge et le rendre propre en 3h).
S’en suivi une bonne douche bien méritée et nous sommes repartis pour manger une pizza (celle de l’Isla Del Sol nous ayant laisser un joli souvenir nous cherchions un équivalent le cuy ou le ceviche ne nous ayant pas trop convaincus).
Enfin nous avons terminé notre journée par un dodo bien en règle ou nous n’avons pas fait un seul pli!

La Paz : Bonjour, Au revoir

Journée du lundi 26 octobre 

Votre mission si vous l’acceptez sera de trouver un tour organisé dans le désert du Sud de la Bolivie.

Challenge accepted.
Première chose : nous achetons un ticket de bus pour Tupiza, la grande ville la plus au sud avant la frontière avec l’Argentine et le Chili. Départ ce soir à 18h, pour 16h dans un bus de nuit.

Nous nous promenons un peu dans le centre, et là , c’est la révélation : il faut profiter d’une poste digne de ce nom pour envoyer les cartes postales (pour ceux qui ne l’ont pas déjà fait au Pérou…). Et il faut dire que ça prend du temps.
Nous mangeons vite vite un menu del dia dans une cantine locale. C’est déjà tard et il nous reste encore des choses à faire.

Deuxième chose importante : aller à l’agence Tupiza Tours, voir le circuit et les tarifs proposés. Après présentation, discussions, propositions : nous signons. Ce sera 4 jours et 3 nuits dans le désert, de Tupiza à Uyuni, du 28 au 31 octobre.

Le temps de se renseigner sur le parc de Torotoro que nous aimerions bien faire après le désert, il est déjà temps d’aller au bus…
Tant pis pour le tour en téléphérique et la visite du marché des sorcières (il paraît qu’on y trouve des foetus de lama…).

Psychologiquement prêts à traverser le pays en bus, nous embarquons pour de nouvelles aventures.

Lucha libreee !

Journée du dimanche 25 octobre

A peine posés à l’auberge que nous ressortent. Un seul but : nous nourrir. Direction donc le centre-ville, à 10-15 minutes à pattes. Mais la plupart des boutiques et restos sont fermés… Comment allons nous survivre ??

Nous nous arrêtons dans le premier resto d’aspect sympathique que nous croisons. Évidemment, à 2h de l’après-midi, plus personne ne mange. Qu’à cela ne tienne, nous serons seuls.

Parmi les plats internationaux (oui, on a mangé indonésien, cherchez pas à comprendre), il y a aussi des plats boliviens (mais quel hasard !). Dont le pique macho (non, pas des abats de misogynes). En gros, de la viande, avec de la viande, de la viande et des oeufs, sans oublier les patates et la sauce piquante !

A partir de la, une promenade digestive s’impose. Direction le supermarché pour le dessert, euh non plutôt pour faire quelques courses pour le dîner (qui a dit Chinese Noodles??). On sent déjà la flemme qu’on aurait à essayer de trouver un resto potable un dimanche soir après la galère du midi.

En rentrant avec nos petits sacs bien pleins, une femme nous aborde dans la rue. Elle veut nous vendre un ticket VIP pour un spectacle le soir même, et quel spectacle ! Du catch féminin, une pratique typique de La Paz.
(en vrai, on l’avait vu dans nos guides, et on se tâtait à y aller).
Moyennant quelques bolivianos supplémentaire par rapport au prix au guichet, notre gente cholitas nous propose un package avec taxi aller/retour, sièges VIP et un en-cas.

On se tâte encore : catch or not catch? D’ailleurs, ça s’appelle cholitas wrestling. Le temps de descendre la rue et d’arriver sur la grande place, notre choix est fait. Ce sera cholitas.
Une deuxième femme vend des billets pour le pestacle. Mais il faut faire vite : le bus part à 16h, et il est 15h40. Sauf qu’il faut repasser à l’auberge pour poser les courses et surtout récupérer l’appareil photo.
La gente dame, qui répond au doux nom d’Angela, nous accorde jusqu’à 16h15 pour revenir sur la place.
C’est parti ! Tagada Tagada Tagada Tsoin Tsoin *musique de course dans les dessins animés*

16h16 : nous sommes de retour. Angela nous attends dans sa camionnette, et nous démarrons en trombe. La route grimpe jusqu’au sommet de la ville, ce qui nous ont permet de profiter de la vue malgré la grisaille. On arrive dans un joyeux bazar et on nous conduit vers le lieu tant attendu… Qui se révèle en fait être le gymnase du coin.
Nous sommes les derniers, mais nous avons encore droit aux sièges VIP : des fauteuils de jardin autour du ring monté pour l’occasion !

‘Attention Mesdames & Messieurs, dans un instant, ça va commencer. Installez vous dans votre fauteuil, ça va commencer. Touuus les projecteurs vont s’allumer en même temps ! ‘.

Ça c’est un peu ce que le commentateur disait, mais ça parlait bien trop vite pour nous.
Quoi qu’il en soit, deux hommes en maillots moulants sont montés sur le ring, bientôt rejoints par l’arbitre.
Ils se sautaient dessus, s’envoyaient valser par delà le ring, se relevaient, se faisaient aider / frapper par l’arbitre. Bref tout comme au ‘vrai’ catch, mais en mode low cost.
Et le public, pas dupe mais bienveillant, applaudissait et encourageait !

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Il y a eu quelques matchs pour chauffer la salle, déjà acquise à la cause. Et enfin les cholitas sont arrivées !
Deux femmes, en jupes traditionnelles, qui affrontent deux hommes en maillot moulant. Et notre Angela était de la partie ! A elles seules, les deux cholitas faisaient le spectacle, minaudant, gesticulant, prenant le public à partie. Du catch vraiment particulier mais à mourir de rire avec leurs mimiques !

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Bien évidemment, nos deux demoiselles finissent par prendre le dessus sur leurs adversaires, sous les félicitations du public. Et la commence une parade de la victoire.

Damien se fait entraîner dans cette danse, et enchaîne les petits pas avec Angela (et plus si affinités !). D’ailleurs nous avons une vidéo que nous nous ferons un plaisir de montrer (bien sûr, Damien ne s’inclut pas dans ce ‘nous’).

Après une petite séance photo avec les héroïnes, le bus nous ramène à la grande place. Et nous retournons à l’auberge déguster notre repas homemade.

C’est capital !


Fini notre petit coin de tranquillité, on monte à la capitale ! (enfin en l’occurrence on descend). Direction donc La Paz, 5h de route.
Le trajet se fait lentement, sans accroc. Pour éviter de passer la frontière avec le Pérou, nous savons juste que nous devrons prendre un ferry sur le lac Titicaca.
Un ferry ? Quel ferry ? Quand nous arrivons au détroit, on nous indique qu’il faut descendre du bus. Bus que nous voyons monter, avec toutes nos affaires dedans, sur une espèce de bateau à fond plat, qui fait juste la taille du véhicule. On se demande encore comment cet engin flottait encore.
Mais pas le temps de nous inquiéter davantage pour notre cher bus, il faut penser à nous et à notre traversée !

Nous payons nos billets, et nous sommes dirigés vers une petite barque à moteur, déjà pleine. Le temps de la traversée, nous vivons un peu l’expérience des migrants. Heureusement que ça ne dure pas longtemps !

Nous arrivons finalement sans encombre à La Paz. La vue en arrivant sur la capitale la plus haute du monde est vraiment impressionnante. Il y a plus de 1000m de dénivelé entre le haut et le bas !

Maintenant que nous sommes installés à l’auberge, il ne reste plus qu’à trouver quelque chose à faire un dimanche après-midi.

Copacabana Isla del Sol

Après ce délicieux ceviche nous avons pris un bus de nuit pour Copacabana. Ce fut un voyage épique avec pas loin de 10h de bus, pas de chauffage, un passage de frontière à pied… Mais nous sommes arrivés !

A peine sortis du bus nous avons acheté nos tickets pour l’Isla del Sol (l’île considérée comme épicentre énergétique  mondial). Nous nous sommes dépêchés jusqu’au bateau mais il ne partait pas… Alors nous avons aidé des Boliviens à charger un bateau et Cyril a explosé un sac de ciment sur lui image preuve à l’appui !

En fait nous nous étions simplement trompés d’heure (décalage horaire oblige)

2h30 plus tard nous voilà au nord de l’île. Nous avons marché jusqu’au sud ou l’on a dégusté la meilleure pizza de tous les temps avec vue sur le lac Titicaca! Grandiose !

Le lendemain nous sommes allés sur l’île de la Lune ou nous avons profité d’un bateau privé avec vitesse de pointe 2km/h! Parfait pour digérer le petit déjeuner ! Ensuite nous avons visité les ruines incas les mieux conservées où ils gardaient les vierges à sacrifier sur l’île du soleil. C’était assez impressionnant d’autant plus que nous avions le site que pour nous ! image Bon au passage nous avons perdu les nez de Damien et Cyril brûlés par le soleil…

Petite pizza à midi et le soir nous sommes revenus tranquillement sur Copacabana en bateau !

Petit rattrapage #3 : Machu Picchu

Rattrapage des journées du samedi 17 et dimanche 18 octobre.

Au revoir Santa Theresa ! Sac au dos, c’est collectivo jusqu’à Hidroelectrica. Puis à pattes sur les 10km séparant Hidroelectrica d’Aguas Calientes (la ville à partir de laquelle on accède au Machu Picchu). 

Il faut longer la voie ferrée, sachant qu’il est interdit de marcher sur les rails mais que le seul chemin passe par les rails… Cherchez l’erreur.

C’est fastidieux et les sacs pèsent. Nous arrivons jusqu’aux jardins de Mandor : une espèce de chambre et table d’hôtes, où les propriétaires cuisinent de bons petits plats tout en oeuvrant pour la faune locale. 

Nous décidons d’y passer la nuit, même s’il faut encore faire 4km pour aller à Aguas Calientes.

Pendant que les preux chevaliers vont à Aguas Calientes en fin d’après-midi pour acheter les billets de bus pour le Machu et de train pour rentrer à Cusco, les princesses vont visiter le jardin botanique, un petit havre de paix.

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 Toute la nuit, le petit chien de la famille ne fera qu’aboyer… Génial pour se lever à 3h30 (oui du matin !)

Quoi qu’il en soit, à 4h nous sommes à nouveau sur notre voie ferrée préférée, toujours à pattes.  C’est parti pour 1h de marche, de nuit à la frontale pour rejoindre Aguas Calientes et prendre le 1er bus à 5h15 pour monter au Machu Picchu.

Quand nous arrivons enfin… La queue est déjà immense, pire qu’à Disney. Même si le 1er bus n’est pas encore parti… Bref prenons notre mal en patience.

La montée vers le Machu est magnifique, on voit toute la vallée. Et quand on arrive, il faut encore faire la queue. Raaaaah.

Il pluviote. Alors nous nous précipitons aux portes du Soleil, si jamais cela pouvait nous porter chance. Après 1h de marche, nous arrivons à ce petit site, avec vue sur les ruines principales du Machu. Et la… Miracle! Du soleil !

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Mais c’est déjà l’heure de repartir… À la grande montagne. C’est un pic au dessus du Machu, à partir duquel on a vue à 360 degrés sur toute la vallée et les ruines. Bon, au terme des 2160 marches. Autant dire qu’en arrivant la haut, on était morts ! Mais le coup d’oeil en valait la peine. D’ailleurs, il nous a fallu 1h15 pour monter, à la place des 2h prévues *gloire*.

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10h15, et on se jette sur nos piques niques. Avant de redescendre. Descente très fastidieuse.

Si bien qu’en arrivant aux ruines, on est fatiguééés. Et trempés (transpi, pluie, on sait plus trop).

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On fait vite le tour des ruines, on prend des photos avec les lamas pour touristes… Et on refait la queue pour descendre à Aguas Calientes.

C’était très joli, mais vraiment trop de monde dans les ruines principales, malgré la limitation à 2500 personnes. On est très content d’y être passé, mais si on revenait au Pérou, pas sur qu’on y retourne…

La citation philosophique du jour ‘C’était tellement grand que c’en est devenu essoufflant !’

La un petit goûter bien mérité, et c’est reparti pour les 4km à pattes le long de la voie ferrée. Enfin ! Maison !